L’histoire de Favre-Leuba remonte à des temps reculés, précisément à 1737, lorsqu’Abraham Favre était installé au Locle, en Suisse. L’image de la marque a été gravée dans le marbre très tôt par la création de garde-temps remarquables à la technologie précise et novatrice. Les concepteurs de Favre-Leuba ont toujours eu à cœur de créer des instruments d’exploration, des instruments audacieux et durables avec du caractère, pour accompagner ceux qui veulent repousser leurs limites.

Les icônes

Comme pour la plupart des images de marque, les icônes évoluent et prennent de l’importance au fil des générations. Aujourd’hui, nous dévoilons notre dernière collection de montres-bracelets d’exploration Favre-Leuba Raider. Voici la Bivouac 9000, la Bathy 120 MemoDepth et la Harpoon. Les icônes des voyages du passé et du présent par-delà les mers et les sommets présentent les dernières avancées en matière de technologie mécanique, guident les alpinistes en altitude et les plongeurs dans les profondeurs. Elles lancent également une nouvelle approche innovante de l’affichage de l’heure ; découvrez maintenant les montres instruments du futur pour les explorateurs.

Le K2, la Montagne Sauvage, est la deuxième montagne la plus haute du monde. Légèrement plus petite que l’Everest, elle est aussi considérée comme autrement plus difficile. Ce mont aux pentes bien plus abruptes exige d’escalader des milliers de mètres sur des parois techniques de roche et de glace, même en suivant la voie la plus facile. Il est soumis à la météo réputée mauvaise de la région et exposé presque en permanence à des chutes de roche et à des avalanches. Au cours des 65 années qui ont suivi sa toute première ascension, le K2 a toujours enregistré un taux de mortalité glaçant de plus de 20%. C’est pour ces raisons que je ne suis jamais allé sur le K2 ou dans sa région, la chaîne du Karakoram. Pourtant, après 25 ans consacrés à l’escalade à plein temps et huit ascensions de l’Everest, dont une sans oxygène, j’ai décidé que le moment était venu. Sur le plan émotionnel, je me sentais prêt pour une montagne aussi dangereuse. Sur le plan physique aussi, après un an d’entraînement sérieux et spécifique. J’ai eu la chance d’avoir une coéquipière incroyable pour tenter avec moi l’ascension du K2 sans oxygène, ainsi que trois autres amis, avec oxygène, en soutien à notre expédition.

Favre-Leuba est la deuxième marque horlogère la plus ancienne de Suisse et jouit d’un héritage qui traverse le temps depuis 1737. Tout au long de son illustre histoire, la marque a poursuivi une seule vision : repousser les limites de l’innovation horlogère. Concevoir des garde-temps de très grande qualité dotés d’une fiabilité Swiss Made indiscutable, pensés pour accompagner les pionniers dans tous les domaines.

À l’époque contemporaine, la passion de Favre-Leuba pour l’innovation ne cesse de croître. Poursuivant leur évolution, nos garde-temps sont devenus de véritables instruments d’exploration. Des montres fonctionnelles, mécaniques, précises et robustes, fabriquées dans un but spécifique. Développées pour fournir à leur porteur des informations en direct sur son environnement, dans n’importe quelle situation. Nos indicateurs mécaniques offrent des informations précieuses pour permettre à ceux qui explorent le monde, des montagnes aux océans, en passant par les terres qui les séparent, de prendre des décisions capitales. Ils savent quand continuer ou rebrousser chemin et remettre à plus tard la conquête de nouvelles frontières.

En 2019, notre équipe d’ambassadeurs s’est employée à repousser ses limites, à conquérir des frontières personnelles et naturelles, en explorant les lieux les plus reculés de notre monde. Adrian Ballinger, Florian Fischer et Chris Brinlee se sont donné pour objectif, avec leurs fidèles compagnons Favre-Leuba, d’explorer toujours plus loin les sommets, les abysses et l’horizon. 

Le Khumbu Climbing Center (KCC) a été co-fondé par Jenni et Conrad Anker, avec l’appui de l’ensemble du conseil d’administration de la fondation de bienfaisance Alex Lowe. Des membres influents de la communauté locale des sherpas ont également joué un rôle fondamental dans l’aménagement du centre. Ont participé notamment Chhongba Sherpa, Panuru Sherpa, Lhakpa Sherpa et Lhakpa Norbu Sherpa.

Dans l’ensemble, les ressources du centre sont majoritairement consacrées à l’évolution et à la formation de la communauté autochtone des sherpas et des guides de montagne au Népal, lesquels sont indispensables dans une région où de nombreuses familles et communautés ont perdu des êtres chers en montagne. En outre, le KCC fait tout son possible pour renforcer les connaissances des locaux sur la montagne. Il espère élever le niveau de sécurité pendant le travail en haute montagne. La fondation a été créée par Jenni-Lowe Anker suite à la perte douloureuse d’Alex Lowe dans un accident de montagne. Peu après son instauration en 1999, la fondation a été également rejointe par l’alpiniste professionnel Conrad Anker. Les membres fondateurs du KCC ont été vraiment touchés par l’amitié que leur ont témoignée les gens de cette région, ainsi que par leur soutien. Les efforts et ressources consentis ont eu des conséquences directes sur l’amélioration de la sécurité et le bien-être de tous les alpinistes et les marcheurs qui s’engagent dans la vallée entourant l’Everest.

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Le système Rapid Ascent : Adrian Ballinger

Le 20 mai 2018, deux faits notables ont marqué l’histoire de Favre-Leuba. Le premier a été le succès de la Raider Bivouac 9000 dans le climat inhospitalier régnant sur le toit du monde, puis l’exploit de notre ambassadeur alpin, Adrian Ballinger, qui a atteint un nouveau record de vitesse en aller-retour dans le cadre d’une mission dans l’Everest.

Adrian Ballinger est un alpiniste de renommée mondiale connu pour établir de nouvelles normes dans les environnements de haute montagne. Il a conquis en outre huit sommets de l’Everest, dont un sans oxygène d’appoint. Il a également inscrit des records de vitesse époustouflants, comme lors de ses ascensions de l’Everest (deux fois) et du Lhotse en mai 2011. C’est ainsi qu’il est devenu le premier (avec ses deux coéquipiers sherpas) à gravir trois sommets de 8000 mètres en seulement trois semaines. Cependant, Adrian consacre également beaucoup de temps à aider les autres dans les montagnes. Il était le seul membre non sherpa des équipes chargées d’installer les cordes fixes au sommet de l’Everest en 2010 et en 2011. Il est en outre le seul guide de montagne américain certifié AMGA/IFMGA et a gravi plus de quinze sommets de 8000 mètres. De plus, ces certifications lui permettent d’emmener de petits groupes d’alpinistes dans l’Himalaya et de les instruire sur ces régions sauvages et de tous les extrêmes.

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Adrian s’est associé à Favre-Leuba lors de ses missions d’ascension en 2018. Il a été le pionnier d’une méthode d’ascension de l’Himalaya d’un genre nouveau, appelée « système Rapid Ascent ». Cette méthode révolutionnaire réduit ainsi le nombre de jours nécessaires à l’acclimatation. En fin de compte, elle permet également au grimpeur et à son équipe de supporter physiquement les rigueurs d’une montée continue à de telles altitudes.

C’est un entraînement exigeant et continu d’endurance à faible intensité qui implique de grimper quatre fois 1200 mètres par semaine. En outre, les grosses journées exigent des ascensions de 2400 mètres comportant aussi des montées en vitesse rapide. Avant de partir pour l’Himalaya, Adrian passe également huit semaines d’acclimatation chez lui, dans des tentes hypoxiques qui lui permettent de s’habituer à une altitude de 5600 mètres.

L’importante préparation physique lui a donné l’occasion d’allier ses performances athlétiques exceptionnelles à son extraordinaire efficacité d’alpiniste. Concrètement, cela lui a ouvert la voie du succès, lui permettant de réussir l’ascension aller-retour la plus rapide jamais réalisée du Cho Oyu et de l’Everest, les USA étant le point de départ et d’arrivée, en seulement 23 jours. Par ailleurs, le nouveau système Rapid Ascension et l’expérience considérable d’Adrian dans l’Himalaya ainsi que ses prouesses d’alpiniste lui ont permis de gravir l’Everest en seulement neuf jours, un exploit qui demande 65 jours à la majorité des grimpeurs.

Raider Bivouac 9000, la montre qui repousse les limites

Tout au long de sa préparation et de son ascension, Adrian portait à son poignet sa montre altimètre Bivouac 9000 signée Favre-Leuba. Un compagnon alpin indispensable. Il est à noter que son système mécanique interne permettant de mesurer la pression atmosphérique et l’altitude a pu fournir des données barométriques précises à Adrian. Pendant leur montée au sommet de l’Everest, les membres de l’équipe ont éprouvé des difficultés à cause d’un grave dysfonctionnement des équipements d’oxygène. Ils pensaient que la fenêtre météo qui leur aurait permis d’accéder au sommet s’était refermée. Cependant, la Bivouac 9000 indiquait l’arrivée imminente d’un système de haute pression. Ces informations associées aux rapports météorologiques actualisés reçus du camp de base ont permis de nouveaux espoirs. Finalement, une petite fenêtre météo a été confirmée. Elle a donné à l’équipe suffisamment de temps pour atteindre le sommet et redescendre au-dessous de la « zone de la mort » de 8000 mètres, en toute sécurité.

L’héritage de Favre-Leuba repose sur l’esprit d’audace et de pionnier de l’alpinisme. La première Bivouac lancée en 1962 s’est faite synonyme de ces valeurs à travers le monde de l’alpinisme. Enfin, une montre capable de mesurer l’altitude avec précision. Elle est devenue immédiatement célèbre en rejoignant Walter Bonatti et ses pairs pour définir les ascensions dans les Grandes Jorasses. Par ailleurs, Junko Tabei portait la première Bivouac au sommet de l’Everest tandis qu’elle devenait la première grimpeuse à gravir le toit du monde.

En 2018, notre nouvelle Raider Bivouac 9000 est devenue la première montre-bracelet altimètre mécanique capable de mesurer l’altitude et le temps avec précision sur le sommet de 8848 mètres de l’Everest. Ce moment véritablement révolutionnaire a redéfini la place de la montre-bracelet mécanique en la rendant indispensable sur les hauteurs de l’Himalaya. C’est sur les terrains où les vents violents et les températures au-dessous de zéro peuvent dérégler les instruments numériques que l’ingénierie mécanique suisse peut faire la différence.

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Khumbu Climbing Centre et la vente aux enchères

Afin de commémorer ce succès, le 12 mai 2019, à Genève, Favre-Leuba vendra aux enchères la montre que portait Adrian Ballinger lorsqu’il a atteint le sommet de l’Everest. La date et l’altitude du sommet ont été gravées sur le fond du boîtier. Il est important de souligner que la totalité des recettes sera reversée au Khumbu Climbing Centre. Ce dernier vise avant tout à éduquer la communauté locale népalaise grâce à l’enseignement d’une large gamme de compétences liées à la sécurité en montagne. Les enseignements dispensés au KCC couvrent des sujets tels que la sécurité et le sauvetage en montagne, les premiers secours en milieu sauvage, les connaissances techniques en matière d’alpinisme et l’apprentissage de l’anglais. Nous espérons que la vente aux enchères permettra de contribuer aux efforts actuellement mis en œuvre pour améliorer la sécurité et le bien-être de la communauté des sherpas et de tous ceux qui viennent dans la région.

• Date de la vente aux enchères : 12 mai 2019

• Lieu : Genève, Suisse

• Présentation générale à Hong Kong : 29 et 30 avril 2019

• Présentation générale à Taïwan : 2 et 3 mai 2019

• Présentation générale à Genève : 9, 10 et 11 mai 2019

• Catalogue disponible en ligne dès le 29 avril 2019 – www.antiquorum.swiss

• Numéro de lot : STWWa

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Caractéristiques techniques :

Boîte : lunette tournante bidirectionnelle avec un insert en aluminium anodisé, verre saphir recouvert d’une couche antireflet sur les deux faces, fond du boîtier aligné, diamètre 48 mm, étanche jusqu’à 3 bars/30 m

Mouvement : mouvement à remontage manuel FL311, basé sur le calibre EMC 3903M ; mécanisme conçu spécialement pour l’altimètre et l’affichage de la réserve de marche ; réserve de marche de 65 heures

Fonctions : heures, minutes, petite seconde, aiguille centrale pour l’affichage des altitudes de 3000 m par tour complet, cadran auxiliaire pour l’affichage des altitudes jusqu’à 9000 m et de la pression atmosphérique en hPa, affichage de la réserve de marche, affichage de la date

Bracelet : cuir d’antilope gris avec boucle ardillon

Les histoires d’aventures épiques sur l’Everest sont à l’origine d’une passion pour l’alpinisme et pour l’escalade pour un grand nombre d’alpinistes. C’est certainement vrai pour moi. Après quelques premières incursions dans la randonnée et l’escalade à l’âge de douze ans, j’ai trouvé mon premier livre sur l’Everest, Les horizons vaincus de Reinhold Messner, sur la première ascension de l’Everest sans oxygène d’appoint. Depuis, je suis fasciné par ce thème. Au cours des quatre années qui ont suivi, j’ai lu tout ce que j’ai pu trouver sur cette montagne et j’ai commencé à rêver d’un plan pour y aller moi aussi un jour.

Avance rapide jusqu’à aujourd’hui. Trois décennies plus tard, j’ai atteint le sommet de l’Everest huit fois, dont un sommet, en 2017, sans oxygène d’appoint.

En 1968, le monde de la plongée est encore balbutiant. Le pionnier Jacques Cousteau explore les mers, tandis que les ingénieurs avant-gardistes de Favre-Leuba lancent la montre de plongée Bathy. La première montre-bracelet équipée d’un bathymètre pour les plongeurs et, aujourd’hui, un objet précieux pour les collectionneurs.

En 2018, la plongée est devenue un sport récréatif. Mais il reste encore beaucoup de territoires sous-marins à explorer. L’équipe vidéo de Behind the Mask plonge dans les mers du monde entier pour ramener des images sous-marines exceptionnelles. Parallèlement, en Suisse, on célèbre le lancement de la nouvelle montre de plongée Bathy 120 MemoDepth.

Favre-Leuba AG, la deuxième plus ancienne marque horlogère suisse qui est réputée pour ses Tool Watches comme Bivouac et Bathy, et WISeKey International Holding Ltd (« WISeKey »), (SIX : WIHN ; OTCQX : WIKYY) une société de plateforme IoT de cybersécurité, se sont associées pour mettre en oeuvre l’édition WISeAuthentic Blockchain afin d’authentifier et protéger les montres Favre-Leuba et leurs propriétaires.

L’achat d’une montre suisse unique est toujours source de grande joie et de fierté, mais cet achat s’accompagne de la crainte que la montre ne soit volée ou qu’elle ne soit pas une pièce originale. Tandis que la plupart des marques haut de gamme trouvent extrêmement difficile de mettre un terme à de tels actes, Favre-Leuba a pris des mesures pour protéger ses montres. Parmi les méthodes fiables de protection figurent l’utilisation d’un logiciel innovant ou d’une technologie blockchain, qui ensemble avec des mesures prises sur le terrain, peuvent assurer l’authenticité de la montre ; si jamais elle est volée, on peut retrouver sa trace et de ce fait rendre sa commercialisation sur le marché secondaire difficile. Il est possible d’effectuer ce contrôle car l’identité de chaque montre est mémorisée sur un registre immuable dans le système mis en oeuvre.